bio.wikisort.org - Virus

Search / Calendar

Le sous-type H7N9 du virus de la grippe A circule normalement entre oiseaux en infectant occasionnellement les humains. Comme tous les virus de la grippe A, il s'agit d'un virus à ARN monocaténaire de polarité négative à génome segmenté (8 segments) qui appartient au genre Alphainfluenzavirus de la famille des Orthomyxoviridae.

Virus de la grippe A (H7N9)
Classification
Type Virus
Domaine Riboviria
Embranchement Negarnaviricota
Sous-embr. Polyploviricotina
Classe Insthoviricetes
Ordre Articulavirales
Famille Orthomyxoviridae
Genre Alphainfluenzavirus

Espèce

Classification phylogénétique

Position :

D'abord détecté chez deux personnes à Shanghai et une dans la province de l'Anhui au mois de [2], il a causé quarante-cinq décès confirmés en six mois (selon l'OMS au ). Entre le et fin février 2014, 375 cas étaient confirmés et signalés à l'OMS (dont 115 décès) 367 cas signalés par la Chine, deux par le CDC de Taipei CDC), 5 par Hong Kong et un cas détecté en Malaisie chez un voyageur chinois[3]. Temporellement, une première vague (133 cas) a eu lieu de février à mai 2013 ; suivie de 2 cas en juillet et août; et une seconde vague a démarré en octobre 2013 (240 à ce jour)[3]. Les enfants, adolescentes et jeunes adultes sont les moins touchés mais l'âge moyen a diminué à la seconde vague (53 contre 58 ans) et les hommes sont légèrement plus touchés[3] (67 %[4]). Lors de ces deux vagues environ 22 % des patients sont morts. Hormis chez les enfants le tableau clinique est presque toujours grave[3].

Officiellement, l'état d'épidémie n'est pas proclamé, mais l'épidémiosurveillance considère le H7N9 avec attention puis l'assimile, à fin avril 2013, à la phase 3 de la typologie établie par l'OMS.


Pathogénicité


La virulence de ce sous-type est faible chez l'oiseau, mais élevée (et croissante) chez l'Homme, il tue en quinze jours, et au début dans un peu plus d'un cas sur cinq, puis il semble être devenu plus pathogène encore[5].

Le (lire chronologie), l'OMS observe que le taux de morbidité du H7N9 dépasse celui du H5N1[6] ; on sait cependant peu de choses sur ce tout nouveau virus d'origine aviaire et ses éventuelles capacités de propagation et recombinaison via les migrations d'oiseaux, de manière identique ou non aux vagues de recombinaisons observées pour la grippe de 1968.

L'innocuité apparente de ce sous-type pour les oiseaux (pas de symptôme observable jusqu'à présent) complexifie l'établissement d'une cartographie de la circulation et d'un éventuel déploiement du virus dans les années à venir, là où les cadavres d'oiseaux victimes du H5N1 en étaient un marqueur.

Selon les autorités chinoise (début août 2013), la plupart des patients ont en outre des séquelles comme : Une gêne respiratoire très présente, d'occasionnels encombrements des bronches et quelques insuffisances rénales. Le virus semble avoir été ralenti et endigué après juin 2013 selon l'OMS sans pour autant disparaître (le 7 août 2013 la première transmission interhumaine a été confirmée par des chercheurs chinois qui estiment que le virus H7N9 est alors en train de muter).

Selon le bilan publié le 16 janvier 2017 : sur 918 cas humains confirmés en laboratoire, 359 malades sont morts[5].

Au 1er juin 2021, ce bilan est 1 668 cas dont 616 mortels selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture [7].


Apparition et évolution



Cas aviaires dans le Minnesota en 1988


Le virus H7N9 a été identifié pour la première fois en 1988 sur des dindes de l'État du Minnesota, comme indiqué par le Hartwell Center for Bioinformatics & Biotechnology ; il s'est alors propagé à la volaille domestique commerciale et à des oiseaux migrateurs sauvages.

Il n'a par la suite infecté des humains qu'en Chine[8].

Le virologue Ron Fouchier[9] a indiqué à CNN que ce virus n'est pas semblable à la plupart des virus de la grippe aviaire car il « n'a pas à s'adapter significativement pour contaminer les gens, ce qui est le cas pour les autres » sous-types de grippe A.


Cas humains à Shanghai en 2013


Graphe représentant l'évolution du nombre de cas officiel depuis l'annonce par les autorités chinoises de l'existence du virus.
Graphe représentant l'évolution du nombre de cas officiel depuis l'annonce par les autorités chinoises de l'existence du virus.
Réassortiment du virus de la grippe.
Réassortiment du virus de la grippe.
Marché de volailles traditionnel à Xining, dans la province du Qinghai (photo prise en 2008).
Marché de volailles traditionnel à Xining, dans la province du Qinghai (photo prise en 2008).

L'enjeu de la transmission interhumaine


Article détaillé : Risque pandémique lié à la grippe aviaire.
Diagramme montrant sommairement les étapes menant à la création d'un vaccin contre la grippe aviaire par la génétique inverse.
Diagramme montrant sommairement les étapes menant à la création d'un vaccin contre la grippe aviaire par la génétique inverse.

Le foyer est apparu au cœur d'une mégapole majeure du pays. C'est un problème épineux pour les responsables de la Santé publique en Chine ; les hôpitaux de Shanghai ont dès l'annonce de début avril, relevé leurs niveaux d'alerte au même point qu'en 2003 pour le SRAS.

La transmission inter-humaine n'était pas certaine au début de l'épidémie. La crainte existe que le virus ne mute et se transmette d'homme à homme. Ce risque a fait l'objet de régulières dénégations[55], peut être pour éviter un retentissement hors de proportion, voire une panique dans ces provinces très peuplées.

Puis un rapport Chine-OMS[56], basé sur une évaluation de terrain, a montré qu'il avait un grand potentiel en termes de contagion interhumaine ; plus que pour tout autre virus de grippe aviaire. Certains échantillons du virus présentaient en outre des mutations laissant penser qu'il s'était adapté à l'homme, plus que les autres virus de la grippe aviaire. Des incertitudes persistent, dont concernant les risques liés à l'exposition aux volailles vivantes comme éventuel premier facteur de risque).

Lors de l'apparition du virus, les autorités chinoises avaient estimé que « si prochainement, le virus H7N9 venait à muter à nouveau, une pandémie imminente serait similaire à celle de 2009 » (a affirmé l'OMS en avril 2013)[57]. Cela dit, la transmission interhumaine de la grippe A ne concerne que les sous-types H1, H2, ou H3. Le CDC indique par contre que l'état de pandémie se définit par une transmission non contrôlée de personne à personne[58], ce qui n'est pas le cas ici. Même si les autorités appliquent des mesures de contention drastiques sur les foyers d'apparition, « l'étendue du virus est extrêmement difficile à stopper. En plus de cela, il a une incroyable facilité à s'adapter et à se propager » (a récemment affirmé l'OMS)[59]. Le cycle de conception de l'industrie pharmaceutique ne permet d'en concevoir un vaccin que pour le mois de novembre 2013. Le vaccin mettrait plus de temps à être mis au point si le virus subissait une mutation ; c'est-à-dire une mutation permettant au virus de se transmettre d'homme à homme, cette recombinaison représenterait le cas le plus critique : Debora MacKenzie du New Scientist[60] laisse entendre que le H7N9 serait à deux recombinaisons près du passage à l'échelle d'une pandémie[61].


Une première transmission du H7N9 d'homme à homme ?


Elle semble avoir eu lieu en 2013, selon une étude publiée le 7 août 2013 dans le British Medical Journal[62]. Au même moment, un article de Nature, conclut que la persistance des virus de type A(H7) chez les volailles en Chine pourrait faciliter la survenue et diffusion de mutations hautement pathogènes et à de nouvelles infections humaines.


Prise en charge par les autorités


Article détaillé : Plan de crise pour une pandémie.

Mesures de Santé publique


À compter du , le CHP (en) de Hong Kong a commencé à relayer l'information aux médias internationaux.

L'épidémie d'H1N1 en 2009 au japon
L'épidémie d'H1N1 en 2009 au japon

L’État chinois a indiqué son engagement à partager l'information concernant le virus H7N9, par le biais de son agence de presse officielle Xinhua ; par le passé, il a en effet fait l'objet d'accusations de couvrir de secret la gestion des crises sanitaires[18]. Le , la commission nationale de la santé et de la planification familiale a communiqué la mise en place d'un système de reporting[63] valant pour toutes ses antennes locales[64].

Identiquement, le portail du Gouvernement de Hong Kong met à disposition une page continuellement mise à jour concernant la prévention de la grippe aviaire[65], en liaison avec celle du CHP[66], son agence responsable de la Santé publique.

Le CDC a commencé le séquençage protocolaire de la variante virale H7N9 le , aux fins de conception d'un vaccin ultérieur[67]. L'État de Singapour met en place le une vigilance sanitaire pour les voyageurs provenant des quatre provinces chinoises concernées par le H7N9 : Shanghai, Anhui, Jiangsu et Zhejiang. Si des personnes une fois entrées à Singapour en développent les symptômes, les médecins exigeront leur historique de trajet[68].

Le , comme l'indique le site du Ministère des affaires étrangères français[69], le Ministère de l'agriculture chinois a dévoilé un plan de surveillance du virus H7N9 des animaux : fermeture des marchés de volailles des provinces touchées, contrôle des élevages[70], analyse des cadavres trouvés et vaccination préventive des volatiles.

La Chine populaire a remis le 18 avril aux autorités du CDC de son opposant géopolitique Taïwan une souche du virus H7N9 afin de partager et accélérer les résultats de recherche microbiologique[71].


Prises de position de l'OMS



Conséquences économiques


Source de protéines issue de la consommation traditionnelle en Asie, la viande de volaille est directement impactée depuis l'avènement de cette crise sanitaire. Dans les marchés aux volailles du Sud de la Chine[76], quoique le virus en soit absent, les prix ont chuté jusqu'à 60 % sur le premier mois[77].

Le magazine Forbes parle d'une perte de 17 milliards de yuans, indiquée par les médias chinois, concernant l'industrie de la volaille[78]. La population ne tient pas compte des injonctions garantissant l'innocuité de consommer du poulet, une fois cuit.

Pour prévenir l'apparition du virus sur son sol, la Malaisie a décrété l'interdiction de l'importation des volailles chinoises le 26 avril 2013[79]. Économiquement, ceci représente annuellement 20 000 mètres cubes de viande congelée, importés depuis deux usines de conditionnement géantes localisées à Shandong. Le Viêt Nam a pris la même mesure que la Malaisie concernant ses importations.


Structure et séquençage


Personnel du CDC à l'œuvre sur le H7N9.
Personnel du CDC à l'œuvre sur le H7N9.

Antigènes de surface


Le nom H7N9 fait référence à deux sous-types d’antigènes présents à la surface du virus :


Séquençage ARN


Les premiers résultats (partiels) de recherche laissent apparaître six gènes communs entre le H7N9 et le H9N2[80], autre virus de la famille des orthomyxoviridae, officiellement disparu dans la province méridionale de Guangdong à la fin de l'année 2008.

L'agence fédérale américaine du CDC a émis à mi-avril des appels d'offres privés aux conglomérats biopharmaceutiques (incluant Novartis) sur la base du séquençage génétique remis au GISAID[81]. Il doit être manipulé en laboratoire en tant que pathogène de classe BSL 3.

Pour plus d'informations concernant l'état des recherches, consulter la bibliographie en pied d'article.

Incubation


La période d'incubation du virus oscille entre 2 et 8 jours avec une moyenne de 5 jours[82], l'OMS recommande de considérer une période de 7 jours pour l'enquête épidémiologique concernant les contacts du patient avec d'autres personnes[2].


Symptômes


Rappel graphique des symptômes courants de la grippe.
Rappel graphique des symptômes courants de la grippe.
Articles détaillés : Syndrome de détresse respiratoire aiguë et Pneumopathie.

Les symptômes initiaux sont

Une caractéristique commune à beaucoup de patients est une infection précoce des voies respiratoires inférieures (dès le début de la maladie), qui se traduit souvent par une détresse respiratoire, une voix rauque et un crépitement à l'inhalation. Les expectorations sont parfois sanguinolentes.

Comme pour le H5N1 l'aggravation des symptômes peut conduire à une hypoxémie, un dysfonctionnement de plusieurs organes et à des surinfections bactériennes et/ou fongiques.

Au 21 avril, le nombre de cas a atteint la centaine. C'est peu pour en définir des caractéristiques communes. C'est insuffisant pour en étudier le r-nought ; l'Organisation mondiale de la santé (OMS) indique malgré cela que l'infection provoque chez l'humain une pneumonie aiguë, caractérisée par une fièvre supérieure à 39 °C, de la toux et une importante gêne respiratoire. Contrairement aux autres grippes, elle peut aussi provoquer des insuffisances rénales.


Traitements


D'après les premiers résultats du séquençage du virus, le H7N9 devrait être sensible au traitement par les inhibiteurs de la neuraminidase que sont le Zanamivir (Relenza) et l'Oseltamivir (sous nom commercial Tamiflu)[83]; cependant, selon le journal Nature [84], début mai 2013, un variant résistant au tamiflu et des souches résistantes à des neuraminidase a déjà été repéré.


Recherche


Vaccin. Le 24 avril, Nancy Cox de l'OMS-Chine a annoncé que la Chine faisait appel à la coopération internationale pour accélérer la production d'un vaccin[85]. Il est en préparation au printemps 2013[17].

L'infection n'est ni létale ni même symptomatique chez la volaille. Ceci fait l'objet d'études.

Cette caractéristique rend ardue l'estimation de l'ampleur de l'épizootie comme de l'épidémie pour l'être humain[86],[21].


Mesures de prévention


Exemple de comportement-barrière inculqué à des enfants.
Exemple de comportement-barrière inculqué à des enfants.
Article détaillé : Maladie infectieuse#Prévention.

Rien de spécifique n'est proposé. Les volailles sont à cuire à température de 70 °C et l'arsenal contre-grippal de rigueur: quarantaine, hygiène des mains à l'aide de savon ou d'un soluté hydro-alcoolique[69] (hygiène régulière, et systématique en cas de contact avec la volaille ou des œufs) ; et si la transmission interhumaine est finalement confirmée après une recombinaison : isolation sociale, masques respiratoires, surveiller les éternuements par des comportements-barrière.

Le site du CHP de Hong Kong met à disposition une page générale donnant la synthèse des mesures de préventions contre toute grippe de type aviaire.


Lien hypothétique avec la dégradation sanitaire des cours d'eau


Vue sur la rivière Huangpu à Shanghai.
Vue sur la rivière Huangpu à Shanghai.
La concomitance de deux évènements fortement médiatiques au même endroit (en février, pollution de deux rivières en amont de Shanghai par des carcasses porcines et cadavres de canards ; en mars, surgissement d'une grippe inconnue) invite à les relier en tant que facteurs d'émergence de la grippe aviaire ; cette pensée n'est qu'une hypothèse.

La région d'origine des premiers malades est celle où, à compter de fin février, des carcasses de porc rejetées dans la rivière Huangpu[87] (traversant Shanghai) avaient été retrouvées par milliers[88] ; également des cadavres de canards retrouvés dans des sacs plastiques, jetés dans un affluent du district de Nanhe[89]. La journaliste scientifique Laurie Garrett[90] pense que ces canards et porcs trouvés morts dans les rivières ont été tués par le H7N9[91]. Il n'existe actuellement aucune preuve scientifique pour confirmer ce lien : la qualité de l'eau en fut en cela fortement atteinte, ce qui ne réclame aucune confirmation officielle.

Selon les communiqués officiels chinois, il n'existe aucun lien. Le directeur du Bureau de contrôle vétérinaire du Sichuan, M. Shi Qian, a indiqué que des prélèvements réalisés sur 34 cadavres de ces porcs repêchés s'avéraient tous négatifs au H7N9, mais se trouvaient positifs au Porcine circovirus Type 2 (PCV-2). Le PCV-2 n'affecte que les cochons, il est sans dommage pour l'homme et les oiseaux. Il n'est mortel que pour les fœtus de cochons et les porcelets. Les 34 cadavres étaient des spécimens adultes. Cependant, la proximité des humains ayant des conditions sanitaires extrêmement dégradées est favorable à ce genre d'émergence, comme ce fut le cas au Mexique en 2009 lorsque survint la grippe porcine initialement nommée « mexicaine », où la population locale de l'État de Veracruz, touchée par les premiers cas, vivait à proximité des charniers laissés en plein air par les équarrisseurs industriels de cochons. De la sorte, deux médecins de Hong Kong, Tsang Tak Yin et So Man Kit, ont indiqué jeudi 4 avril dans le quotidien Sing Pao (en) faire un lien entre la concomitance des deux évènements ; selon eux, fréquemment les cochons font office d'« intermédiaires » entre les volatiles et les humains en ce qui concerne le réassortiment des virus grippaux[27].


Risques écoépidémiologiques et épidémiologiques


Le virus ne semble pas hautement pathogène chez les oiseaux, ce qui permet à des porteurs seins de le diffuser largement[5]. Des tests pratiqués sur des furets et porcs ont montré que H7N9 infectait ces mammifères plus facilement que le H5N1[5].

Selon l'OMS, la transmission interhumaine semble à ce jour très rare. En Chine continentale presque tous les cas humains H7N9 semblent lié à une exposition au virus sur des marchés aux volailles vivantes[5]. La souche circulant en 2012-2013 résulterait d'un remaniement de plusieurs virus aviaires circulant chez des canards domestiques et des poulets. Selon le bureau de l'OMS à Pékin ; en février 2017, les échantillons analysés « ne montrent aucune évidence de changements dans les marqueurs génétiques connus de la virulence ou de l'adaptation des mammifères »[5]

Selon Guan Yi, l'un des spécialistes de ce virus : ce H7N9 provoque une maladie grave chez les personnes mais est douce ou asymptomatique chez les volailles. Le seul exemple précédent de ce type de modèle était la souche H1N1 responsable de la pandémie de grippe de 1918 (50 à 100 millions de morts)[5].


Voir aussi


Sur les autres projets Wikimedia :


Cartographies du risque



Bibliographie



Notes et références


  1. (en) « Virus Taxonomy: 2018b Release », ICTV, (consulté le ).
  2. OMS Avian influenza Fact sheet Updated March 2014
  3. WHO (OMS) RISK ASSESSMENT - Human infections with avian influenza A(H7N9) virus - 28 February 2014 - Summary of surveillance and investigation findings Human cases of avian influenza A(H7N9) virus infection to date
  4. OMS (2014) Background and summary of human infection with avian influenza A(H7N9) virus – as of 31 January 2014f
  5. Normile D (2017) ,Bird flu strain taking a toll on humans, Science, publié dans Asia/Pacific Health ; DOI: 10.1126/science.aal0780Feb. 17, 2017
  6. sciencemag, 24 April 2013.
  7. https://www.lemonde.fr/international/article/2021/06/01/la-chine-a-detecte-un-premier-cas-humain-de-grippe-aviaire-h10n3_6082382_3210.html
  8. (en) « Influenza A virus (A/turkey/Minnesota/1/1988(H7N9)) segment 7, complete sequence » (consulté le )
  9. Publication of flu study reveals full nature of threat, New Scientist, juin 2012.
  10. Plan de crise pour une pandémie#Plan OMS d'alerte : phase 2 atteinte.
  11. (en) « Notification of three human cases of H7N9 in Shanghai and Anhui », sur Autorités gouvernementales de Hong Kong (consulté le )
  12. (en) Jonathan Kaiman et Nicola Davison, « China reports nine bird flu cases amid allegations of cover up on social media », sur The Guardian, Shangaï, (consulté le )
  13. (en) « Man dies of H7N9 bird flu in China, third fatality from lesser-known strain », sur The Sunday Times, (consulté le )
  14. (en) « H7N9 bird flu case confirmed in China », sur Xinhua, (consulté le )
  15. China reports 4th H7N9 bird flu death, ACN, 4 avril.
  16. (en) CNN Staff, « Report: China's bird flu death toll rises to 5 », sur CNN international, (consulté le )
  17. (en) Organisation mondiale de la santé, « Frequently Asked Questions on human infection with influenza A(H7N9) virus, China », sur http://www.who.int/, (consulté le )
  18. (en) « China steps up bird flu precautions », sur BBC News, (consulté le )
  19. (en) « H7N9 virus detected from pigeons in Shanghai », sur Agence Chine Nouvelle, (consulté le )
  20. (en) « Vietnam bans China poultry after new bird flu strain deaths » [archive du ], sur bt.com, (consulté le )
  21. Lefigaro.fr, « Grippe H7N9 : la Chine prend des mesures après un 6e décès », sur http://sante.lefigaro.fr/, (consulté le )
  22. (en) Organisation mondiale de la santé, « Human infection with influenza A(H7N9) virus in China - update », sur http://www.who.int/, (consulté le )
  23. (en) « China reports more H7N9 cases, deaths; virus may be in pigeons », sur Université UMN, (consulté le )
  24. (en) [image] « Moyens de mesure de la température corporelle des passagers provenant de Shanghai » (consulté le )[source insuffisante]
  25. (zh) « 4月6日人感染H7N9禽流感疫情信息 », sur Ministère de la Santé chinois, (consulté le )
  26. (en) « China closes poultry sale in third city after bird flu outbreak », sur CNN, (consulté le )
  27. Le Monde, édition du samedi 6 mars 2013, page 9.[source insuffisante]
  28. (en) « China H7N9 strain bird flu toll 'reaches nine' », sur BBC News, (consulté le )
  29. (en) « Human infection with influenza A(H7N9) virus in China - update », sur OMS, (consulté le )
  30. (en) « China confirms 4 new H7N9 cases », sur Agence Chine Nouvelle, (consulté le )
  31. (en) Lu Hui, « Prevention efforts geared up to fight against H7N9 virus », sur English.news.cn, (consulté le )
  32. (en) « 60,000 carrier pigeons grounded in China », sur ACN, (consulté le )
  33. (en) « 4 new H7N9 cases in East China », sur ACN, (consulté le )
  34. (en) « China's science academy kicks off H7N9 research », sur news.xinhuanet.com, (consulté le )
  35. (en) « At least 12 detained so far in China for bird flu rumours », sur Sunday Times, (consulté le )
  36. (en) « Vaccine expected ready within 7 months: ministries », sur news.xinhuanet.com, (consulté le )
  37. « Le virus de la grippe aviaire H7N9 se propage et atteint Pékin », RTS Info, (lire en ligne)
    « Le virus H7N9 a été détecté pour la première fois à Pékin. Cette souche de la grippe aviaire ne reste plus cantonnée à l'est de la Chine.. »
  38. (en) newsinfo.inquirer.net.
  39. « Après Pékin, la grippe H7N9 se répand à une nouvelle province chinoise », RTS Info, (lire en ligne)
    « La propagation du virus de la grippe aviaire H7N9 s'étend à une nouvelle province en Chine. Deux nouveaux cas ont été recensés dans le Henan. »
  40. (en) « No H7N9 influenza infections in animals », sur Agence Chine Nouvelle, (consulté le )
  41. China reports 77 H7N9 infections.
  42. Harold Thibault et Catherine Vincent, « En Chine, le mystère de la grippe H7N9 s'épaissit », Le Monde, (lire en ligne)
    « Le mécanisme de transmission du nouveau virus de la grippe aviaire H7N9 qui sévit actuellement en Chine reste un mystère. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a dépêché sur le terrain une équipe de quinze des experts mondiaux les plus compétents sur les grippes aviaires pour tenter de comprendre comment le virus peut contaminer l'homme. »
  43. China says investigating human-to-human spread of bird flu, Agence Reuters, 18/04.
  44. China confirms 87 H7N9 cases, 17 deaths
  45. Six H7N9 patients discharged from hospital in E China.
  46. source : Wikinews, article du 22 avril.
  47. China allocates 300 mln yuan for H7N9 flu control.
  48. (en) « Taiwan man contracts H7N9 bird flu, first outside mainland China », Reuters, (lire en ligne)
    « A 53-year-old Taiwan businessman has contracted the H7N9 strain of bird flu while travelling in China, Taiwan's Health Department said on Wednesday, the first reported case outside of mainland China. »
  49. (de)vidéo de Keiji Fukuda sur le site stern.de.
  50. Répartition indiquée par le CHP.
  51. (en) Seven more human cases of avian influenza A (H7N9) verified by NHFPC
  52. First H7N9 bird flu case confirmed in Jiangxi.
  53. First H7N9 human infection reported in China's Hunan.
  54. Huadong : 390 millions d'habitants.
  55. (en) « No proof of H7N9 interpersonal transmission: China, WHO », (consulté le )
  56. rapport publié par la Commission chinoise de la santé et du planning familial.
  57. (en) « Human infection with influenza A(H7N9) virus in China – update », sur Bulletin de l'OMS, (consulté le )
  58. (en) « Seasonal Influenza (Flu) », (consulté le )
  59. (en) « China tightens precautions against H7N9 bird flu », sur ACN, (consulté le )
  60. Debora MacKenzie du New Scientist
  61. China bird flu may be two mutations from a pandemic, Debora MacKenzie, New Scientist, 10 avril 2013.
  62. H7N9 : un cas probable de transmission entre humains AFP/Le Monde, 2013-08-07, consulté 2013-08-26
  63. (en) « Système de reporting de la Commission au planning familial et à la Santé nationale valant pour toutes ses antennes locales », sur search.news.cn (consulté le )
  64. (en) « China starts H7N9 reporting system », sur ACN, (consulté le )
  65. (en) info.gov.hk
  66. chp.gov.hk
  67. (en) « Fiche du CDC d'Atlanta »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le )
  68. (en) « Ministry of Health closely monitoring the influenza A (H7N9) situation », sur Ministère de la Santé de Singapour, (consulté le )
  69. (fr) Fiche 'informations aux voyageurs', Chine, tel que mis à jour le 20 avril 2013.
  70. First H7N9 bird flu case confirmed in Fujian.
  71. Mainland, Taiwan fight H7N9 by sharing virus strain.
  72. Dr Keiji Fukuda : (fr) Fiche biographique OMS
  73. résumé : WHO RISK ASSESSMENT - Human infections with avian influenza A(H7N9) virus, PDF, 5 pages, publié 07 juin 2013
  74. Zhu H. Infectivity, Transmission, and Pathology of Human H7N9 Influenza in Ferrets and Pigs. Science, 2013, DOI: 10.1126/science.1239844. http://www.sciencemag.org/content/early/2013/05/22/science.1239844.long
  75. Hu Y. between adverse clinical outcome in human disease caused by novel influenza A H7N9 virus and sustained viral shedding and emergence of antiviral resistance. The Lancet, 2013, DOI: 10.1016/S0140-6736(13)61125-3.
  76. First H7N9 bird flu case confirmed in Fujian.
  77. (en)Poultry market seriously affected in Haikou since outbreak of H7N9 virus, Xinhuanet News, 26 avril 2013.
  78. (en) article de Russell Flannery, pour Forbes.
  79. Malaysia freezes chicken import from China to prevent H7N9 infection, dépêche ACN, 26/04/2013.
  80. Chinese scientists reveal H7N9 flu virus origins.
  81. (en) source.
  82. entre 2 et 8 jours : lire "Yu Chen et al." en #Bibliographie
  83. Sources : CIDRAP et OMS
  84. Nature, DOI: 10.1038/nature12118, relayé par le New Scientist magazine (2013-05-04) Where has H7N9 bird flu come from?
  85. H7N9 vaccine needs international cooperation, ACN 24/04.
  86. LeMonde.fr, « Grippe aviaire : le virus H7N9 inquiète les experts », sur https://www.lemonde.fr/, (consulté le )
  87. (en) « A Tide of Death, but This Time Food Supply Is Safe », sur The New York Times, (consulté le )
  88. (en) « Is new bird flu outbreak linked to 20,000 dead pigs? Three die in China as scientists isolate new strain of killer virus », sur Mail Online, (consulté le )
  89. (en) « First Dead Pigs, Now Dead Ducks Foul a Chinese River », sur ABC News, (consulté le )
  90. Laurie Garrett : prix Pulitzer 1996 pour sa couverture de l'épidémie de maladie à virus Ebola en Afrique.
  91. (en) « Is this a pandemic being born? » , foreign policyconsulté le=10 avril 2013

Articles connexes



Liens externes





Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

2019-2025
WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии