Endémique du Cameroun, elle n'a été observée que sur un seul site, à Nkolbisson, quartier de Yaoundé, à deux reprises, en et [4].
Du fait de sa très grande rareté et de sa proximité avec la ville de Yaoundé, elle figure sur la liste rouge de l'UICN en tant qu'espèce « en danger critique d'extinction »[5].
Michel Biholong, Contribution à l'étude de la flore du Cameroun: les Asteracées, Université de Bordeaux III, 1986 (thèse)
André Aubréville, in Flore du Cameroun, Muséum national d'histoire naturelle, Laboratoire de phanérogamie, 1990, p.170
(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Pristimera biholongii N. Hallé», in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p.114(ISBN9781842464298)
André Aubréville, in Flore du Cameroun, Muséum national d'histoire naturelle, Laboratoire de phanérogamie, 1990, p.170
Nicolas Hallé, in Flore du Gabon, Muséum national d'histoire naturelle, Laboratoire de phanérogamie, 29, 1986, p.206(ISBN9782856541777)
Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun: check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll.«Flore du Cameroun» (no40), , p.85
(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Pristimera biholongii N. Hallé», in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p.114(ISBN9781842464298)
Holotype, récolté par Breteler le au sommet de la colline derrière le Centre agronomique de Nkolbisson, à 7 km à l'ouest de Yaoundé, à une altitude de 900 m (Muséum national d'histoire naturelle)
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