Il ne faut pas confondre cette espèce avec la forme aux fleurs bleues du mouron rouge (Anagallis arvensis f. azurea Hyl.).
Pour différencier Anagallis foemina des formes bleues du mouron rouge, il faut, comme précisé p.306 de la Flore de Belgique[2], examiner les pétales à la loupe, compter le nombre de poils glanduleux du bord des pétales et examiner le nombre et la forme des cellules de ces poils.
Anagallis foemina: pétales dépourvus de poils glanduleux au bord ou ceux-ci peu nombreux (moins de 30 par pétale), formés de (3-)4 cellules, la terminale plus longue que large. Et d'après Georges SFIKAS 2 : Pédicelles des fleurs généralement moins longs que la feuille correspondante. Feuilles moins ovales, plus lancéolées qu'arvensis.
Anagallis arvensis: pétales pourvus au bord de poils glanduleux abondants (35-70 par pétale), toujours formés de 3 cellules, la terminale subglobuleuse.
Notes et références
Ulrika Manns et Arne A. Anderberg, «New combinations and names in Lysimachia (Myrsinaceae) for species of Anagallis, Pelletiera and Trientalis», Willdenowia, no39, (ISSN1868-6397, DOI10.3372/wi.39.39103, lire en ligne)
Lambinon J. et al., Nouvelle flore de la Belgique, du G.-D. de Luxembourg, du Nord de la France et des régions voisines (Ptéridophytes et Spermatophytes), Meise, Jardin botanique national de Belgique, 6e éd., 2012, 1195p. (ISBN978-90-72619-88-4)
Wild flowers of Crete, Georges SFIKAS, Athens 1987, p.174
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