Les ailes antérieures sont brun-ocre clair, plus ou moins imprégnées de gris-brun avec deux barres blanchâtres obscures sur les segments. Les cils ont quelques écailles noires. Les cils costale et la dorsale ont des barres blanchâtres. Les ailes postérieures sont gris foncé. L'écaille dorsale au 2/3 est petite[2].
Crombrugghia distans est similaire; l'examen des organes génitaux est nécessaire pour différencier les espèces[4].
Répartition
On a recensé Crombrugghia laetus dans le sud de l'Europe, en Afrique du Nord, dans les îles Canaries[3], en Anatolie et en Irak. On le trouve rarement dans les îles Britanniques[5]'[6].
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(en) Colin Hart, «The status of Crombrugghia laetus (Zeller, 1847) (Lep.: Pterophoridae) in Britain with a review of known records and notes on its separation from C. distans (Zeller, 1847)», Entomologist's Record and Journal of Variation, vol.108, , p.113-117 (lire en ligne)
Louis Bigot, «Nouvelles données sur les Lépidoptères Pterophoridae des îles Canaries», Bulletin de la Société entomologique de France, vol.77, nos7-8, , p.223-228 (lire en ligne)
(en) Chris Manley, British and Irish Moths: Third Edition: A Photographic Guide, , 448p. (ISBN9781472975218, lire en ligne), p.164
Louis Bigot et Jacques Picard, «Inventaire critique des Ptérophores du Maroc; Agdistis aguessei n. sp., Oxyptilus oberthuri n. sp. et Merrifieldia peyroni n. sp. (Lepidoptera, Pterophoridae).», Bulletin de la Société entomologique de France, vol.109, no4, , p.433-444 (www.persee.fr/doc/bsef_0037-928x_2004_num_109_4_16151)
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